L'ILE AU TRESOR
Par la Compagnie du Fol Espoir
Samedi 17 janvier à 20h30, Salle Fracasse à Beaumes de Venise
Tarifs : 10 € et 5 €
TERRES DE POILUS
Colporteurs d'Histoire(s) 4ème époque : La France de 14-18
Dimanche 18 janvier à 15h à la COVE de Carpentras (version courte)
CONTES ISSUS DES OEUVRES DE PIERRE MAGNAN
par Gilbert Chiron et Eliane Goudet, Conteurs du TRAC,
suivis de la pièce "Mais qui est enterré sous le lavoir ?"
Dimanche 18 janvier à 16h à la Salle des Fêtes de la Roque d'Anthéron
MAIS QUI EST ENTERRE SOUS LE LAVOIR ?
D'après l'oeuvre de Pierre Magnan
CONTES ET DEBAT AUTOUR DU LOUP
Par les Conteurs du Trac
Vendredi 23 janvier à 20h30, Salle Fracasse à Beaumes de Venise
La peur, celle qui accuse le loup, hante les mémoires, d'où les contes du "Grand Méchant Loup".
Associé dans l'Antiquité à la fertilité, la lumière, le courage et la force guerrière, il y a le loup noble qui vit en société et qu'on retrouve dans les contes et la mythologie.
Et puis il y a le loup réel qui tue par nécessité, pour se nourrir et nourrir la meute. Celui qui est l'ennemi des bergers.
Quoi qu'il en soit, indomptable et sauvage, il fait peur et fascine.
Que l'on soit pour ou contre lui, le loup ne laisse pas indifférent.
Les Conteurs du TRAC vous proposent une soirée au cours de laquelle vous pourrez entendre des contes et histoires autour du Loup, mais aussi, au cours d'un débat, confronter vos points de vue sur la place du loup dans notre environnement.
Tarifs : 10 € et 5 €
TERRES DE POILUS
Colporteurs d'Histoire(s) 4ème époque : La France de 14-18
Vendredi 30 janvier à 20h30 à la Salle des Fêtes d'Uchaux
Dans Terres de Poilus, les lettres des soldats, les carnets des tranchées, les récits romanesques, les essais, ou bien encore les poèmes, les chansons nourrissent le dialogue dramatique entre les hommes au front et les femmes aux champs.
Les images scénographiques, les scènes courtes et compactes de Terres de Poilus essayent de restituer, grâce au langage poétique et métaphorique du théâtre, l’absurde réalité quotidienne de la guerre vécue (violence extrême, injustice inouïe, angoisses au front et dans les familles…), mais aussi les vitales respirations de l’imaginaire des femmes et des hommes qui emplissent les solitudes ou transportent dans des ailleurs (divertissement dérisoire, émotions collectives…).
Mais qu’ils aient fréquenté les cafés de l’arrière, les rafales de mitrailles des premières lignes du front, qu’ils aient côtoyé la boue, le sang ou la mort, les Poilus ont tous dans la tête un petit air de survie, un refrain à fredonner, une note de révolte à prolonger dans le souffle infini, une chanson à faire sourire et même une joyeuse, pour du rire.
Les Poilus dans les tranchées, comme les paysannes en écho dans les terres ou à la veillée, entonnent les chansons qui libèrent, la Chanson de la Vie. Ces chansons sont parfois connues ou revisitées comme "Ma p'tite Mimi" sur l'air de la Tonkinoise. Ou longtemps interdites, comme "La chanson de Craonne" qui a valu à d'aucuns d'être fusillés pour l'avoir entonné sur le champ de bataille...